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Exploitation des résultats

La comparaison et l'analyse des deux tableaux de résultats permettent la création de graphiques présentant les variations de la fréquence cardiaque et du rythme respiratoire en fonction de la récupération pratiquée:

graph 1.jpg

graph 2.jpg

D'après ces graphiques, plusieurs informations peuvent être remarquées:

     Premièrement et de manière assez attendue, on remarque que pendant le temps de récupération, la fréquence cardiaque des deux coureurs diminue plus rapidement lors d'une récupération active que lors d'une récupération passive. De la même façon, le rythme cardiaque est de plus faible intensité lors d'une récupération passive. En effet, ces constatations étaient attendues car l'objectif de la récupération active est, à l'inverse de la passive, de maintenir la fréquence cardiaque et le rythme respiratoire les plus élevés possible afin que l'organisme fournisse le moins possible d'efforts pour retrouver ses performances optimales de course.

     D'autre part, le ressenti des coureurs se dégrade lui aussi plus rapidement en récupération passive qu'en récupération active: cela signifie que les coureurs se fatiguent plus rapidement lorsqu'ils restent assis lors de la minute de récupération que lorsqu'ils pratiquent un effort de faible intensité. En effet, nous avons eu la sensation qu'en pratiquant une récupération passive, les jambes sont devenues lourdes beaucoup plus vite, tout comme un essoufflement quand il fallait démarrer une autre série. C'est ainsi que nous avons pu réaliser 8 séries en récupération active et seulement 6 et 7 en récupération passive.

     Les résultats obtenus traduisent bien l'efficacité de la récupération active pour l'effort de type résistance et nous permettent de conclure sur le fait que l'hypothèse posée est juste et vérifiée. 

  

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